SUITE AUX PROVOCATIONS DE L’OTAN EN MER NOIRE, LA RUSSIE A DÉPLOYÉ SIX SOUS-MARINS POUR LES TENIR EN RESPECT

SUITE AUX PROVOCATIONS DE L’OTAN EN MER NOIRE, LA RUSSIE A DÉPLOYÉ SIX SOUS-MARINS POUR LES TENIR EN RESPECT
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SUITE AUX PROVOCATIONS DE L’OTAN EN MER NOIRE, LA RUSSIE A DÉPLOYÉ SIX SOUS-MARINS POUR LES TENIR EN RESPECT.

Les choses évoluent extrêmement vite dans la géopolitique mondiale, depuis l’échec des discussions russo-américaines qui se sont tenues du 10 au 14 janvier derniers à Genève, portant sur les garanties de sécurité juridiques contraignantes exigées par la Russie aux USA et à leurs subordonnés de l’OTAN.

Ainsi, dans le but de provoquer la Russie et de la mettre sous pression militaire, les marines des armées de l’OTAN ont depuis un certain temps renforcé leur présence en mer Noire, par l’envoi de différents navires de guerre dans les eaux territoriales internationales ou ukrainiennes.

Toutefois, leurs activités se passent à proximité des côtes russes de la Crimée ou du détroit de Kersh, qu’elles ont à maintes reprises tenté de violer sous divers prétextes.

Et pour y mettre fin, en guise de réponse du berger à la bergère, la Russie a décidé de sortir les grands moyens de sa flotte de la mer Noire.

Pour ce faire, six sous-marins du Project Varshavyanka y ont été déployés pour tenir en respect ces navires de guerre des pays de l’OTAN qui viennent s’y aventurer de façon provocatrice, en vue de soi-disant contenir la Russie. Il est bien sûr de leur droit de rêver.

Chacun de ces sous-marins est armé de redoutables missiles de croisière Kalibr, dont les plus récents Kalibr-M Variant, déjà opérationnels dans la marine russe, ont une vitesse de vol de March 3, soit 3 705 km/heure et une portée est de 4 500 km, leur conférant ainsi des capacités de guerre sans contact (non-contact warfare) et stratégiques inégalées.

Car à l’opposé, leurs malgré tout « équivalents » américains les Tomahawks, qui du reste, ne font plus le poids dans la guerre moderne face à une autre puissance militaire de valeur égale, n’ont qu’une portée de 1 700 km et volant à une vitesse subsonique de 912 km/heure. N’est-ce pas que l’écart est si grand ?

Ces performants missiles à capacité conventionnelle ou nucléaire, et susceptibles de changer de trajectoires, chose qui les rend difficile à intercepter, ont particulièrement fait leur preuve en Syrie en 2015, lorsqu’ils pulvérisèrent les positions des terroristes de l’État islamique (Daesh).

Etre autres : usines d’armement, centres de commandement, entrepôts de munitions, entrepôts d’armes, dépôts de carburant et camps d’entraînement terroristes.

Et ce, à plus de 1 500 kilomètres du lieu de leurs tirs par la frégate Dagenstan et des corvettes de la flottille russe en mer Caspienne.

Selon les données préliminaires, les sous-marins de la flotte de la mer Noire de la marine russe devront élaborer des méthodes de combat contre deux navires de guerre espagnols et un américain, récemment entrés dans la mer Noire.

Les six sous-marins de la flotte de la mer Noire de la marine russe ont été mis en mer pour le combat.

Il s’agit là de sous-marins diesel-électriques du projet Varshavyanka équipés du complexe d’armes de missiles guidés Kalibr, confirme l’Observateur militaire de la chaîne Telegram.

Les sous-marins russes du Projet Varshavyanka sont considérés comme des sous-marins furtifs (invisibles au radars), capables d’approcher les navires ennemis à une distance très proche, tout en restant inaperçus.

Ce qui n’exclut pas la possibilité que pendant que les navires de l’OTAN tentent de pratiquer des actions contre la Russie en mer Noire, les sous-marins russes dont la Commandement compétent envisage incessamment de faire passer leur nombre de 7 à 14, auront aussitôt réussi à lancer des attaque dévastatrices contre ceux-ci et à les couler sans autre forme de procès au fond de la mer.

Dans l’entre-temps en mer Méditerranée, le porte-avions américain Trumman et son groupe naval d’accompagnement, afin d’échapper à toute désagréable surprise surgissant de nulle part du fond de la mer, n’ont eu d’autres choix que d’aller se cacher pendant un moment en mer Adriatique dans une base navale italienne pour se mettre à l’abri.

Et pourquoi donc se demanderait-on ? Parce que le sous-marin diesel-électrique d’attaque russe Novorossiysk, équipé de missiles de croisière Kalibr qui les guette toujours en secret depuis deux semaines, reste à ce jour ni détectable ni trouvable par la marine et l’avion de l’OTAN, qui se sont avérées inaptes à cette tâche tactique à l’issue de vaines et interminables recherches.

Dans ce cas de figure, la seule option qui leur restait était celle de trouver momentanément refuge en mer Adriatique, située entre le nord-est de l’Italie et le sud-ouest des Balkans (les pays de l’ex-Yougoslavie), avant de rebrousser chemin vers la Méditerranée pour une destination plus sûre.

C’est-à-dire, celle avec très peu de risques de se faire couler à n’importe quel instant par l’invisible monstre marin russe.

/Pépin LULENDO/
2022-01-19

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