RD CONGO : les Patriotes-résistants non-alignés de l’APARECO, disent non au clientélisme politique et choisissent la Troisième voie.

RD CONGO : les Patriotes-résistants non-alignés de l’APARECO, disent non au clientélisme politique et choisissent la Troisième voie.

Déclaration d´Autonomie de l´APARECO Scandinavie.

 

A TOUS LES MEMBRES DE L’APARECO

Mesdames, Messieurs, et Chers Patriotes-résistants,

En date du 4 juin 2021, jour anniversaire de la création de l’APARECO, nous avions envoyé une Lettre ouverte aux cadres supérieurs de notre plateforme, en l’occurrence madame OKEKE Candide et messieurs EBAMA Djoko Alphonse, WETCHIKO Yango Yajovin, MBIKAYI Clovis, LUKIKA Patrick, LOMELA Paulin, MAKUNGA Joseph et LUZOLO Michel.

La teneur de cette Lettre ouverte conseillait les personnalités citées ci-haut de trouver, en vue de la pérennité d’une APARECO unie et forte, une voie de sortie raisonnable, patriotique et salutaire à la crise de succession ayant éclaté à la suite du décès du Président national Honoré NGBANDA Nzambo Ko Atumba. Laquelle crise, devenue depuis lors, ce qui convient de qualifier sans détour de « duel politico-judiciaire » dont nous connaissons en partie l’issue, avait dans un premier temps donné lieu à un différend sur les interprétations des uns et des autres des dispositions statutaires de notre Alliance, en particulier autour du fameux Article 9 alinéa 2 ― pourtant aussi limpide que l’eau de roche ― portant sur la désignation d’un nouveau Président national.

Nous n’allons certes pas revenir ici sur les revendications de chaque partie contenues dans la Lettre ouverte, ni sur leurs argumentations qui furent d´ailleurs abondamment distribuées sur la place publique à travers les réseaux sociaux. La raison est tout aussi claire que les eaux limpides des ruisseaux du Congo. Aucune partie n’a daigné penser aux populations congolaises qui souffrent le martyre au quotidien, faire table rase des erreurs commises dans la précipitation et revenir sur nos pas d’avant le décès de notre regretté Président National, tel que préconisé dans notre Lettre ouverte, dont en voici au passage les liens ci-dessous :

1. https://www.kamaplustv.net/crise-dans-lapareco-que-faire-pour-sen-sortir/

2. https://www.congoindependant.com/crise-dans-lapareco-que-faire-pour-sen-sortir/

Les jours se sont succédé aux jours, les semaines après les semaines, et plus d´un an et demi, soit 18 mois après l’inhumation du Père-fondateur Honoré NGBANDA, la date butoir relative à la convocation de l’Assemblée générale étant très largement dépassée, le Congrès tant attendu censé regrouper tous les membres du mouvement toutes tendances confondues, c´est-à-dire avec les deux parties en conflit, n’a toujours pas eu lieu. Forte de ses arguments, chaque partie est restée dans son coin, campant sur ses positions respectives, et organisant à sa façon son propre soi-disant « Congrès ». Car, bien déterminée à montrer à l’opinion tant nationale qu´internationale, que c´est à elle et à elle seule, qu’appartient la légitimité de représenter et d’engager l’APARECO.

Ainsi, la scission tant redoutée de notre plateforme, qui semblait jusque-là hypothétique, est-elle belle et bien réelle aujourd’hui ; bien assise et ancrée dans ce qui semble être son droit, elle plonge ses racines dans la profondeur des ambitions excessives et de l’égoïsme sordide des uns et des autres.

Le Congrès de l’APARECO Aile Comité national a organisé une élection pour pouvoir élire un nouveau « Président national ». Là encore, les violons ne se sont pas accordés puisque l’un des deux candidats en lice, après le vote, a claqué la porte de l´Alliance en décriant des manœuvres et des fraudes électorales pour créer sa propre plateforme. Du côté de l’Aile « ex-Présidente nationale », on a dû assister à une pluie de « nominations » et de « promotions » pour loyauté envers la hiérarchie. Visiblement, la tenue de leur Congrès jadis envisagé au nom de l´Alliance est compromise, maintenant que la décision de justice autrefois attendue pour le jeudi 29 juillet 2021 est dorénavant connue. Interdite d´utiliser la dénomination APARECO dans ses activités, tout porte à croire que ledit Congrès se tiendra un jour ou l´autre, mais sous un autre étendard.

Décision subséquente au premier round pour ainsi dire, du « duel politico-judiciaire » du 5 juillet 2021 ayant opposé « l´ex-Présidente nationale » aux autres membres de Comité national devant les autorités judiciaires françaises. Et vu le triomphalisme jadis affiché par ses partisans, ce verdict doit avoir été ressenti par cette faction comme une cruelle désillusion, un coup de massue et un camouflet judiciaire lui infligé par cette même justice dont elle s’était librement saisie par défi envers le camp adverse. La justice peut parfois se révéler être une arme à double tranchant.

Mesdames, Messieurs, et Chers Patriotes-résistants,

Nous voilà bien dans une situation exécrable, voulue et animée par des ambitions personnelles, des considérations égocentriques et par cette propension maladive dans le chef de l’élite politique congolaise, nous dirons même viscérale, de se croire être la seule personnalité capable pour ne pas dire susceptible, de diriger et qu’en dehors de soi, tout n´est que poussière.

La situation telle que décrite dans les lignes plus haut, plonge chaque membre conscient de notre Alliance dans l’expectative et l’amène à se demander à qui il peut maintenant faire confiance, sinon à quel saint se vouer. Il va sans dire que les populations congolaises chosifiées dans le pays se posent aussi cette question. Nous nous la posons aussi, cette terrible question, à laquelle nous sommes heureusement parvenus à une réponse sans équivoque : nous ne pouvons faire confiance ni à l’une ou l’autre partie responsable de la partition de notre plateforme APARECO.

Là où le bât blesse, c´est hélas l´attitude obstinément belliqueuse de nos camarades protagonistes. « L´ex-Présidente nationale » quant à elle, malgré le fait d’avoir été déboutée de ses desideratas par la justice française à travers sa décision claire et sans équivoque rendue l´année dernière à la date précitée, plutôt que de se rendre à l’évidence et d’accepter sagement voire sportivement son fiasco judiciaire, et ainsi chercher à renouer le fil du dialogue avec l´Aile Comité national, elle s´obstine au contraire ― c’est de bon droit ― à vouloir épuiser toutes les voies de recours en interjetant appel, dans l’espoir d’obtenir enfin gain de cause.

Sans en oublier de signaler au passage que, « l´ex-Présidente nationale » avait aussi porté plainte pour menaces verbales contre l´un des Vice-présidents nationaux de l´Aile Comité national. Menaces proférées à son encontre par ce dernier semble-t-il lors d´une de ses sorties médiatiques. Ainsi, pour lesdits écarts de langage « spontanés », celle-ci s´en était saisie pour lui en faire payer le prix fort.

Toutefois, il y a là lieu de se demander : avec quels éléments nouveaux à sa disposition, qui n´auraient pas été pris en compte par la juge en première instance, espère-t-elle pouvoir renverser la vapeur en instance supérieure ? Peut-être aurait-elle basé son recours en appel, sur le fait qu’il y aurait aussi eu, selon elle, vice de procédure et absence de qualités à agir de l’Aile Comité national ? Notamment, lors de la désignation d’un autre Président national intérimaire, lors de la convocation du Congrès extraordinaire et de l´investiture de son nouveau « Président national », qui du reste, n´aurait pas dû postuler à ce poste, compte tenu de son état-civil de célibataire au moment du scrutin, nous a-t-on dit. Ceci, conformément à l´une des conditionnalités d´éligibilité telle que définie dans leurs propres règles du scrutin, pourtant délibérement foulées aux pieds.

D´où, son assignation en justice en fin août 2021 ― dont le procès à l´issue incertaine est fixé après report au mercredi 14 septembre prochain (2022) ― , par plusieurs dizaines de cadres et membres de l´APARECO Aile « ex-Présidente nationale », contestant farouchement à celui-ci, et selon eux : sa « soi-disant légitimité » acquise dans des conditions laissant énormément à désirer, voire calamiteuses. Car, son challenger réclamait notamment plus d´une cinquantaine de voix exprimées en sa faveur qui n´auraient pas été prises en compte lors de dépouillement du scrutin.

Pareillement dans le camp opposé, où l´on déplore la même attitude intransigeante. Il est fort malheureux de constater que l´esprit de conciliation ne prévaut pas toujours même du côté de l’Aile Comité national qui s´est rendue rigide. Confortée au plan juridique et psychologique par sa « victoire du 29 juillet 2021 », elle s´est sentie pousser des ailes et ne semble plus du tout disposée à recoller les morceaux, en excluant ainsi tout compromis ou toute solution à l´amiable, allant dans le sens de la réconciliation et de l´unité de l´APARECO, qui du reste, a volé en éclats.

Et pour couronner le tout, en plus de sa plainte pour semble-t-il « malversation financière » contre « l´ex-Présidente nationale », dont le procès eut lieu le 21 octobre 2021 au tribunal judiciaire de Nanterre et dont le verdict était attendu le 18 novembre 2021, l´Aile Comité national procéda en date du 28 août 2021, à une profonde restructuration de l´organigramme hérité du feu Président national Honoré NGBANDA. Remettant semble-t-il en cause les facultés mentales de ce dernier à partir de février 2021 ― après avoir subi quatre interventions chirurgicales ― pour être en mesure de prendre des bonnes décisions, en virant sans autre forme de procès de leurs postes de responsabilité, tous les anciens cadres de l´aile opposée, pour les remplacer par de nouvelles figures acquises à sa cause.

Enfin, en guise de « la cerise sur le gâteau », une autre plainte pour dénonciation calomnieuse aurait été déposée par la partie adverse, contre le Représentant régional de l´APARECO/Grande-Bretagne Aile Comité national.

Ainsi, cet acharnement à persister dans l’erreur a franchement de quoi inquiéter plus d’un, et démontre à suffisance combien nos camarades sont-ils déterminés à aller jusqu´au bout de leur logique de guerre ô combien contre-productive et ruineuse, tant pour l´APARECO ― autrefois fer de lance de la Résistance ― que pour la Résistance elle-même dans sa diversité. Lequel acharnement consacre la dislocation définitive et irréversible de notre Alliance, et livre pour ainsi dire tous « les secrets de famille » sur la place publique au profit de l´Occupant, qui lui pourtant, continue de conforter ses gains politico-administratifs, économiques et territoriaux.

Et à cet effet, l´érection aussi bien illégitime qu´illégale de Minembwe en commune rurale à visage d´une « enclave/exclave rwandaise monoethnique » dans le Sud-Kivu, mais aussi l´occupation militaire de la petite ville frontalière de Bunagana dans le Nord-Kivu depuis juin dernier, en sont là la parfaite illustration de cette domination rwando-étrangère, tant dénoncée par l´APARECO depuis 17 ans. Cela doit davantage nous édifier sur les dangers qui nous guettent d´être un jour tous réduits en esclaves et en apatrides sur notre propre sol, si l´on n´y prend pas garde.

Faut-il ainsi se fier aux allégations, voire, aux accusations et contre-accusations ayant défrayé la chronique depuis le début de cette « saga politico-judiciaire » intra-APARECO, des uns contre les autres et vice versa, et qui, de ce fait, entament leur crédibilité pour s’en convaincre ? Le fossé de méfiance, sinon de défiance entre les deux camps n´a cessé de s´élargir, ainsi le point de non-retour semble avoir été franchi. Bref, les deux camps belligérants ont lamentablement failli à leur mission de maintenir l’APARECO unie, après le décès de notre charismatique leader.

De toute façon, le dénouement actuel semblait prévisible dans la mesure où les protagonistes avaient superbement ignoré les cris de détresse émis entre autres : dans notre Lettre ouverte du 4 juin 2021 ; de la vidéo d’un jeune cadre de la Jeunesse APARECO qui, avec son équipe, ont dû quitter l´Alliance suite au refus des protagonistes de s´entendre ; des inquiétudes des membres abondamment exprimées dans le forum WhatsApp/Alliance des Patriotes devenu depuis lors selectif et exclusif .

Ainsi, plutôt que d´enterrer la hache de guerre en retirant toutes ces inutiles plaintes de part et d´autre, afin de rétablir la paix et l´unité au sein de l´Alliance, les deux camps ont fait le choix de la poursuite infinie d´hostilités, dans l´hypothétique espoir de l´emporter sur l´adversaire. La rupture est donc consommée. Ceci dit, nous devons donc en tirer toutes les conséquences qui s´imposent et ainsi agir en conséquence à partir de maintenant, dès lors que nous avons pris concience que la situation est irrémédiable et que nous allons droit vers un précipice.

Mesdames, Messieurs, et Chers Patriotes-résistants,

Le vide occasionné par cette tragédie devant être rapidement comblé, et ne pouvant nous permettre de décevoir notre peuple dans cette lutte vitale pour son existence en tant que tel, après un temps de longue réflexion, nous nous sommes trouvés dans l’obligation d´en rechercher une voie alternative et un nouveau leadership, au sein des membres de l’APARECO d’avant la scission.

Car nombreux sont ses membres, anciens ou nouveaux, à travers la diaspora congolaise, qui par patriotisme, et par fidélité à la mémoire et à l’idéologie du défunt Président national Honoré NGBANDA, ont à cœur de continuer à s’impliquer davantage dans l’action de l´APARECO en donnant le meilleur d’eux-mêmes. Mais ils ne peuvent le faire à cause de la répugnante guéguerre en cours en son sein qui, au-delà du fait d´être un facteur de division et de déstabilisation, constitue en soi un vrai repoussoir, les plaçant par conséquent dans une situation inconfortable devant les deux camps opposés. Faut-il ainsi laisser tous ces Patriotes-résistants aussi déterminés et prêts au combat de la libération nationale au bord de la route ? Nous disons Non !

Avec l’aide du Tout-Puissant notre Dieu, Maître des temps et des circonstances (Daniel 2:21), des hommes épris de patriotisme et d’expérience, et dont l’intérêt supérieur de la Nation congolaise prévaut sur leur amour-propre, nous avons le devoir patriotique de continuer le combat et de l´adapter aux nouvelles contraintes de la situation du moment, dont celles créées par les deux factions opposées, et ce, sans laisser aucun groupe ni aucun Patriote-résistant au bord de la route, car l´APARECO autant que la Résistance dans sa pluralité, ont plus que jamais besoin de toutes les forces vives de la Nation.

À ce propos, dans un délai proche, un nouveau courant rénovateur et fédérateur, s’inscrivant en droite ligne de la vision, de l’idéologie et de l´orientation politiques lui imprimées par ses Pères-fondateurs, va pouvoir émerger au sein de l’APARECO, puisqu’on ne s’attend plus à un rebondissement de la situation actuelle qui n´inspire guère confiance.

Ce sera en fait une Troisième voie des Patriotes-résistants congolais, se voulant par-dessus tout rassembleuse, inclusive et participative, située entre les deux factions antagonistes qui se complaisent à s’affronter devant les tribunaux étrangers, plutôt que de s’accorder et consacrer leurs énergies à la lutte de libération du pays contre l’Occupation rwando-étrangère.

Car selon leurs propres déclarations, souvent acerbes par médias sociaux interposés, chaque camp est décidé à en découdre une bonne fois pour toutes avec la partie adverse, en annonçant aux membres et partisans de l’APARECO, à la Résistance et aux Congolais : de nouvelles dates de distraction dans le cadre de leurs batailles judiciaires prochaines. Chose qui, soit dit en passant, projette hélas à la face du monde une fausse et piteuse image des Résistants congolais, selon laquelle, ceux-ci, passeraient les plus clairs de leur temps à se faire de stériles guères intestines.

En fait, les cours et tribunaux de France, étant encombrés d´innombrables dossiers comme l´on peut facilement se l´imaginer, n´ont pas que le contentieux intra-APARECO à régler. N´est-ce pas ? Dans ce cas, il faudra donc s´attendre à ce qu´au moins toute une année de plus d´une véritable partie de « ping-pong judiciaire » de procès et de recours soit inutilement perdue, pour voir enfin le fameux conflit réglé dans ses volets administratif et pénal.

Ainsi, il y a là des risques de voir cette crise perdurer dans le temps. Ce qui en réalité, détourne l’attention de notre peuple du centre d´intérêt de sa juste lutte, tout en entretenant un climat délétère, qui en plus, exacerbe les tensions et la division au sein d´une Résistance que nos camarades belligérants ont décidé à fragiliser, au profit des ambitions personnelles excessives.

Et pendant ces temps, alors qu´ils se trouvent empêtrés dans des querelles mutuelles et dans l´attente des verdicts de cours et tribunaux de France, et apparemment sans en avoir pleinement conscience, nos camarades belligérants font le jeu de l´ennemi, de l´Occupant, qui lui, en profite pour avancer aisément ses pions vers ses objectifs de balkanisation, de dépossession, d´occupation et de domination totales de notre pays et de notre peuple.

En conséquence, comme nous l’avons souligné plus haut, et conformément aux vœux émis en sourdine par nombre de Patriotes-résistants restés dans l´anonymat ; Nous, en tant que porte-paroles, initiateurs et coordonnateurs d´une nouvelle dynamique, convoquerons incessamment sous peu les États Généraux de l´APARECO et mettrons pour ainsi dire à votre disposition et à celle du peuple congolais un « nouvel » outil de combat, qui est en soi, une pure émanation désormais autonome de notre Alliance originelle ; s´inscrivant dans la parfaite continuité de ses efforts précédents et de son action initiale, avec le même contenu, tout en restant disposée à s’imprégner des nouvelles idées rénovatrices que tout membre est censé y apporter, dénommée :

APARECO-Scandinavie

Une plateforme du respect des textes, des femmes et des hommes, celle de l’apport et de l’écoute de chaque membre, celle de l’administration ; une plateforme de solidarité et de compréhension réciproques, celle du vrai souci des populations congolaises ; une plateforme du refus de l’alignement aveugle, du clientélisme, du fanatisme, de l´intrigue, du tribalisme, du régionalisme, des alliances contre-nature et du collaborationnisme avec les supplétifs congolais des Occupants.

En conclusion, c´est une plateforme qui a vocation à être perçue et considérée par les deux autres factions protagonistes, mais aussi par notre peuple, non pas comme une entité politique «en trop» et rivale aux deux parties belligérantes, mais plutôt comme une Alliée naturelle en position médiane, et en juxtaposition d’idées et d’actions complémentaires avec elles, dans le cadre d’objectifs communs de libération nationale. Seule, la sauvegarde des idéaux de l´Alliance désormais misent en péril, se situe au cœur de nos préoccupations et de notre démarche politique.

Mesdames, Messieurs, et Chers Patriotes-résistants,

Vous avez là une situation à laquelle nous sommes hélas parvenus, compte tenu de l’irresponsabilité et de l’incapacité de nos cadres supérieurs à nous garder ensemble.

Veuillez croire, Mesdames, Messieurs et Chers Patriotes-résistants, en notre profonde détermination pour la continuité du combat de la libération de notre très cher pays le Congo.

 

Fait à Stockholm, le 10 septembre 2022

Pépin LULENDO

Ancien Président régional de l´APARECO/Scandinavie
Ancien Secrétaire Exécutif National chargé des Relations extérieures
Téléphone : +46 – (0)73 – 786 23 01
WhatsApp : +46 – (0)73 – 786 23 01
E-mail : lulendo1@yahoo.fr
Facebook : Pépin Lulendo
Skype : pepin_lulendo

info@kamaplustv.net

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